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 Loïs Van Garett in the place. Huhu. [Finie]

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Loïs Van Garett

Loïs Van Garett


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MessageSujet: Loïs Van Garett in the place. Huhu. [Finie]   Loïs Van Garett in the place. Huhu. [Finie] EmptyFévrier 7th 2009, 6:03 pm

    001Carte d'identité.

    Nom : Van Garett. Ce nom ne vous est sûrement pas étranger. Et pour cause, les Van Garett sont les maîtres d'hôtel les plus prestigieux d'Amsterdam, d'ailleurs, leur renommée s'étant au delà des frontières et commence à s'étendre un peu partout en Europe. Je devrais sûrement être fière de porter ce nom, mais non. Je hais ma famille jusqu'à ma cousine au 15ème degrés. J'ai toujours jugé qu'ils m'avaient tous ruiné la vie en m'obligeant à reprendre les habitudes familiales et à conduire mon destin là où je ne voulais pas qu'il aille.
    Prénoms : Loïs. J'ai toujours mal vécut le fait que mon prénom n'ait pas de consonnance amstellodamoise, comme toute personne vivant à Amsterdam. Mais bon, on ne choisit pas son prénom (ni sa famille d'ailleurs), ce qui ne m'empêche pas de quand même haïr mes parents pour ce choix peu propice aux conditions. A vrai dire, le seul point positif c'est que je n'ai ni deuxième, ni troisième prénoms. Et en y pensant, je pense que ça aurait été un vrai gâchis si j'en avais eu.
    Âge : 21 ans. Mais mentalement 17.
    Date & Lieu de Naissance : 31 octobre 1987, dans une petite clinique d'Amsterdam.
    Origine(s) : J'ai de très lointaines origines allemandes et italiennes (d'ailleurs, il paraît que j'ai le physique d'une jeune femme italienne) mais je n'ai jamais eu aucun contact avec les personnes de ma famille vivant en Allemagne et en Italie, ce que je ne regrette pas tant que ça finalement...
    Profession : Réceptionniste. J'aurai préféré taper plus haut dans les métiers de l'hôtellerie mais il s'avére que je ne suis douée que pour recevoir les gens et leur attribuer une chambre. Pourtant j'ai essayé de passer dans la filière cuisine et dans la filière sanitaire mais il apparait que je ne suis ni douée pour préparer un quelconque plat (ou même faire chauffer un plat surgelé à vrai dire), ni pour refaire un lit ou passer le balai.

    002Au fond de mon petit coeur.

    • L'évènement qui me fit pleurer plus que possible : Je n'ai jamais vraiment eu pour habitude de montrer mes sentiments en public, ce qui inclus les pleurs. Pour moi, pleurer à toujours été une faiblesse et j'ai horreur des faibles. Je pense que cela me vient des valeurs que m'ont inculquées mes parents dès mon plus jeune âge et je continue à les suivre. Bien-sûr, j'ai pleuré lors de ma naissance, comme tout être normalement constitué, mais compter le jour où je naquis comme l'évènement qui me fit pleurer plus que possible est peut-être exagéré en faite. J'ai la conviction d'avoir beaucoup pleuré lors de mon enfance, vous savez des pleurs de gamins, quand vous perdez votre peluche favorite ou même quand un garçon vous pique votre sucette, pour des choses futiles quoi.
    Mais, c'est tellement étrange, à cause de cette question j'ai presque l'impression d'être une personne denuée de sentiments et incapable de ressentir la moindre émotion, ça me fout mal à l'aise votre truc ! Mais je suis persuadée d'avoir déjà eu un déluge de larmes ou un truc du genre. C'est obligé. Parce que si je ne pleurais jamais, par où j'évacuerai le trop plein d'eau ? Ahah, j'ai peut-être une idée finalement. Non, sérieusement, il faut juste me laisser un instant de réflexion afin que je me souvienne. C'est que j'ai pas la mémoire facile... Hm. Ah oui ! Je sais ! Quand j'avais quinze ans, alors que j'entamais mon année de seconde au lycée ! Un chagrin d'amour ! Je me souviens, c'est bon ! Je vous explique : J'avais donc quinze ans et j'entrais en seconde dans un lycée pas mal réputé des Pays-Bas, j'étais novice en matière d'amour et plutôt timide à cette époque, je l'assume complétement et je sais que maintenant j'ai changé en ce qui concerne ma timidité maladive adolescente, enfin bref, là n'est pas la question. J'avais très peu d'amis à l'époque, genre deux ou trois copines pas très fiables qui étaient plus du genre poufs qu'autre chose, mais c'était les seules qui m'avaient un tant soit peu acceptées dans leur cercle d'amis, donc bon, j'allais pas me plaindre, c'est pas comme si le seul groupe qui m'avait accueillit était le club des matheux, hin ! J'avais donc quelques copines en qui je n'avais absolument pas confiance, mais à l'époque, au sein du groupe, on se disait tout. Et il s'avére que j'étais tombée amoureuse d'un garçon de terminale beau comme un Dieu. Vous savez, grand, brun, yeux noisettes, peau légérement hâlée, barbe naissante, anneau doré à l'oreille gauche, un sourire à faire tomber dans la tentation la pire des nones et il avait un petit côté bad boy irrésistible. Il s'appellait John, j'ai encore le souvenir parfait de son physique en tête et j'avais appris qu'il était étudiant étranger venu continuer ses études ici. J'avais donc confié à mes 'amies' mes peines de coeur qui m'avaient certifié avec le plus grand des sérieux que j'avais toutes mes chances avec ce garçon. Grosse blague ! J'étais petite, potelée, mes dents avaient hérité d'un appareil ignoble et d'élastique fluo sur les côtés des machoires, mon visage ressemblait plus à une calculatrice à cause de mes boutons qu'à autre chose et ne parlons pas de mon style vestimentaire qui était... Déplorable ? Est-ce un mot assez fort pour me définir étant ado'. Enfin bref, plusieurs jours s'étaient écoulés depuis la fameuse révélation sans que rien de concret ne se passe. Et puis, un soir, en sortant d'un cours de mathématiques particulièrement ennuyant, il était là, m'attendant à la porte de la salle de classe, adossé contre le mur. J'avais la certitude qu'à cet instant, le rouge m'était tellement monté aux joues que j'en étais cramoisie. J'étais donc passée devant lui, baissant la tête, mes livres serrés contre ma poitrine, mais avant que j'ai eu le temps de vraiment partir, il avait posé une main sur mon épaule, me forçant à me tourner vers lui. Et la conversation, ou plutôt, le monologue qu'il m'offrit s'engagea :


    « Ecoutes... Je sais pas vraiment comment te dire ça mais disons que... Euh... T'es pas... Vraiment mon type de nana. Tu saisis ? Donc je suis desolé mais, nous deux, ça va pas être... Possible. Tu comprends ? »

    A cet instant même j'avais tellement honte... A mon avis, j'avais carrément viré au violet à ce moment même. Tout les personnes présentes dans le couloir étaient morts de rire devant le pauvre spectacle qui s'offrait à eux. Moi, j'avais courrut en direction de la sortie, les larmes dégoulinant sur mes joues. J'avais l'impression que ma tête allait exploser d'une minute à l'autre. J'avais tellement de tristesse, de honte et de rancoeur en moi que je ne pouvais retenir le flot d'eau salée qui bouillonnait en moi. J'avais pleuré pendant au moins trois bonnes heures, dans mon lit, serrant mon oreiller contre ma bouche pour étouffer mes cris de désespoir. J'étais catégorique sur au moins un point : Cupidon me détestait et je ne voulais plus jamais être confrontée à l'amour.
    Ce garçon, John, je n'avais plus jamais réussit à le regarder en face, mais c'est sans doute grâce à lui que mon physique avait si radicalement changé au cours de mes années lycée. Cette histoire avait au moins eu une facette positive pour ma propre vie. Mais ça m'avait tellement fait souffrir que je n'avais plus jamais tenté de retomber amoureuse.

    • L'évènement qui me remplit de joie : Encore ici, quand j'y repense je n'ai jamais vraiment éprouvé un moment de joie intense dans toute ma vie de jeune femme frustrée. En y repensant bien, il n'y en a pas je pense. Autant faire le tri dans les différentes périodes de ma vie afin d'en trouver un ou deux assez jouasses. Ahah. Alors... Je passerai sur la période bébé parce que je n'ai plus aucun souvenir de cette période. Autant passer à l'enfance de suite dans ce cas... Hum... Petite, j'étais plutôt solitaire, je n'aimais pas la présence d'autres enfants dans mon environnement vital, et ce fut plutôt un problème handicapant tout au long de ma scolarité au jardin d'enfants car des gosses, y'avait que ça là-bas. Plus jeune, j'avais des cheveux bruns très foncés, virant presque au noir et touffus, ce qui me donnait une apparance un peu folle, j'avais des yeux couleur corbeau et je m'habillais presque toujours avec des robes noires et blanches, vous savez, comme la fille dans la famille Adams. Les autres enfants ont toujours eu peur de moi, et m'appellait la sorcière à cause de mon physique, de mon style vestimentaire et de mon caractère plutôt prononcé. J'étais agressive, méchante gratuitement, impulsive, jalouse maladive et bien d'autres joyeusetées encore. Déjà en maternelle, les rumeurs les plus folles couraient à mon compte, du genre :

    « Non mais tu savais pas que Loïs c'était une sorcière du mal qui est née dans une forêt, tu sais, la forêt où y'a tous les petits lutins et tout ça ! » ou encore « Son animal domestique c'est une araignée. Tu vois, celles venimeuses, bah elle, elle a ça. Et puis, y parait que la nuit, ses cheveux se transforment en serpents venimeux qui te mordent et que après tu deviens tout comme elle ! ».

    Vous comprenez maintenant pourquoi je n'avais aucun amis ? Hormis le fait que je n'en veuille pas, j'aurais tout de même apprécié que les autres gamins viennent vers moi. C'est à cause de ça que je me suis sentie super solitaire dès mon plus jeune âge. Pas étonnant que je ressemblais trop à une attardée. Enfin bref. Après la maternelle, place à l'école primaire. Mes cheveux s'étaient éclaircis, mes yeux aussi d'ailleurs, je m'habillais plus en petite fille sage et pas en presque gothique mais j'avais toujours autant un caractère de merde, disons. Je menais les élèves de l'école à la baguette en leur faisant peur et tout le monde ou presque était à ma mercie. Seulement, mon régne démoniaque s'est terminé quand une nouvelle, Pam je crois, est arrivée dans notre chére primaire. Déjà, quand je l'ai vu pour la première fois, elle me faisait super peur. Elle était très grande, bien bâttie pour une fille et son visage avait quelquechose de méchant.
    Enfin, ce n'est pas exactement quand elle est arrivée à l'école que j'ai arrêté d'imposer ma loi aux autres élèves. C'est plutôt lors d'une récréation, alors que j'engloutissais le goûter d'une élève de première année que j'avais tout simplement volé, qu'elle était venue me voir, poings dehors, comme si elle avait voulut me frapper. De suite, j'ai enlevé de mon visage mon regard mesquin et sournois qui faisait si peur à tout le monde et j'ai adopté un ton plus peureux. Elle m'avait dit recto :


    « Ecoutes ma vieille, on m'a dit que c'est toi qui faisait la loi ici. J'ai été renvoyé de mon ancienne école à cause d'une grosse bagarre où j'ai envoyé quelqu'un à l'hosto', donc maintenant, c'est moi qui gére les élèves, t'as compris ? »

    Un peu que j'avais compris, je m'étais retiré de mon rêgne de reine des écoles et je l'avais bouclé. C'est de là que mon impulsivité s'est changé en timidité maladive. A partir de là, je n'ai vraiment plus eu aucun amis, tout le monde préférant se ranger du côté de la grande prêtresse et j'ai continué mon chemin en solitaire comme je l'avais déjà fait avant.
    Ensuite, le collège s'était passé comme le lycée, très mal (se référer à la question du haut, ahah) et puis, je suis rentrée dans la vie, disons, active en faisant des études d'hôtellerie. Déjà à l'époque je détestais ma famille. Moi, j'avais toujours voulut faire artiste-peintre, mais eux, voulait que je marche sur leurs traces, ils m'avaient donc envoyé de force à New York City pour faire des études appropriées. Entre le lycée et l'université, j'avais changé, je m'étais tellement embellie que quand j'avais croisé John (qui était resté à Amsterdam après le lycée) dans la rue, il ne m'avait même pas reconnu mais ne s'était pas gêné pour me matter. Ahah. Quel boulet. Enfin bref. Après mes études, je suis rentrée dans ma ville natale parce que j'avais le mal du pays aux Etats-Unis. J'avais tellement été habituée à l'environnement d'Amsterdam que j'avais largement préféré rentrer chez moi. Ce fut en faite le plus beau jour de ma vie, celui où j'ai ressentit le plus de joie. Je quittais enfin la maison familiale pour mener MA propre vie et c'était tellement excitant que je ressentais l'adrénaline monter en moi jusqu'à mon coeur. C'était tellement parfait ! J'avais pris mes affaires sans dire bonjour, ni même au revoir à mes vieux, et j'étais partie dans un motel (aussi miteux soit-il) en quête de travail (et peut-être d'un endroit plus décent où loger).


Dernière édition par Loïs Van Garett le Février 8th 2009, 3:50 pm, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Loïs Van Garett in the place. Huhu. [Finie]   Loïs Van Garett in the place. Huhu. [Finie] EmptyFévrier 7th 2009, 7:37 pm

Bienvenue Happy2

Quelque chose me dit que tu es une grande connaisseuse des films de Tim Burton Happy3
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Debra C. King

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MessageSujet: Re: Loïs Van Garett in the place. Huhu. [Finie]   Loïs Van Garett in the place. Huhu. [Finie] EmptyFévrier 7th 2009, 8:16 pm

Bienvenue^^
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MessageSujet: Re: Loïs Van Garett in the place. Huhu. [Finie]   Loïs Van Garett in the place. Huhu. [Finie] EmptyFévrier 7th 2009, 8:43 pm

Merci à vous deux. (:

Héhé, je suis une grande admiratrice de Tim Burton, et Sleepy Hollow étant un de mes films préférés, je me devais d'utiliser le nom 'Van Garett'. :P
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MessageSujet: Re: Loïs Van Garett in the place. Huhu. [Finie]   Loïs Van Garett in the place. Huhu. [Finie] EmptyFévrier 7th 2009, 9:20 pm

Comme je te comprend cool
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Sharona Campbell
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MessageSujet: Re: Loïs Van Garett in the place. Huhu. [Finie]   Loïs Van Garett in the place. Huhu. [Finie] EmptyFévrier 8th 2009, 1:19 pm

Bienvenue (:
Alors, il faudrait revoir le modèle, des explications sont données. Ce n'est pas "ce que je n'ai pas choisi" mais "ceux que je n'ai pas choisis"; il faut parler de ta famille. Et puis, il faut aussi faire le nombre de lignes demandées ;) merci !
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MessageSujet: Re: Loïs Van Garett in the place. Huhu. [Finie]   Loïs Van Garett in the place. Huhu. [Finie] EmptyFévrier 8th 2009, 3:27 pm

    • Ceux que je n'ai pas choisis : Il suffit de lire le début de mon questionnaire pour comprendre que les personnes que je n'ai absolument pas choisis mais qui sont tout de même entrés dans ma vie sont mes parents... Je serai tentée de dire carrément : Ma famille, mais je ne sais pas si finalement, il faut les inclure ou pas. Quoi que. Non, en faite, disons que ceux que je n'ai pas choisis sont ma famille entière, sans reconsidérer personne. Je hais ma famille entière. Comprenez moi. Mon père est maître d'hôtel de père en fils. Ils se renvoient l'ascenceur de la gloire depuis près de cinq générations (on voit la variété de destinée). Quant à ma mère, elle est critique... Critique d'hôtel. C'est plutôt comique n'est ce pas ? On comprend pourquoi elle n'a enlevé aucune étoile à mon père quand elle est venue inspecté son 'auberge', ahah. Donc je suis le fruit de deux personnes passionnée de l'hôtellerie (je me demande d'ailleurs comment ils font, parce que personnellement je hais ça). Déjà, pour eux, âgée de cinq ans et demi même pas, j'étais destinée à bosser dans le même genre de travail qu'eux. Alors que bon, le seul talent que j'avais à l'époque et que j'ai toujours, c'est la peinture. Je ne sais pas d'où me vient cette passion mais je peind depuis que je sais tenir un pinceau dans la main. Et je me débrouille bien. Adolescente, je faisais partie d'un club d'art et le directeur du groupe m'a plusieurs fois demandé si je ne voulais pas être exposée lors du vernissage de ses propres oeuvres. J'ai toujours refusé, trop pudique de mes dessins, mais j'avais quand même la conviction que je serai une grande peintre plus tard. D'ailleurs, j'avais déjà choisit le lycée et l'université d'art où je voulais aller. D'abord, je voulais essayé un lycée de Belgique renommée pour sa prestigieuse école des arts plastiques et de la scène et qui offrait des tas de filières différentes. Ensuite, je comptais enchaîner sur une université de France plus spécialisée dans la peinture et le dessin.
    Quand j'avais annoncé ça à mes parents alors que je n'étais âgée que de quatorze ans même pas, ils m'avait rit au nez. Tellement que j'avais piqué une énorme colére dont la porte de ma chambre (dans la maison familiale) se souvient sûrement encore. Ils avaient catégoriquement refusé mes choix, me disant que le milieu de l'art était bien trop compliqué pour que j'arrive à trouver un boulot stable et qui puisse subvenir à mes besoins quand je serai lancée dans la vie active. Leur premier argument m'était totalement indifférent, je savais que j'avais du talent et que je réussirais, j'étais tellement convaincue par cela que ça sonnait comme une évidence en moi. Mais pas pour eux apparament. Ensuite, ils m'avaient dit qu'ils préfèraient que je fasse un lycée normal, afin d'avoir des bases d'études sûres si je voulais me réorienter plus tard. Je perçus mieux cet argument et acceptais d'entrer dans un lycée renommé d'Amsterdam, en choisissant des études concernant de loin l'art. Mon diplôme en poche, j'avais montré la lettre de motivation que je voulais envoyé à l'université française où je voulais aller à mes parents. Ils l'avaient lut et littéralement déchiquetée en souriant et me disant qu'ils m'avaient déjà inscrite dans une université hôtellière et que j'avais été reçu avec brio. Ahah, quelle bonne blague. Je riais jaune mais j'étais tellement démotivée par ce qu'ils m'avaient fait que j'avais decidé d'accepter sans broncher. De toute façon, à quoi bon. Je les haïssais.

    • Un jour, j'ai été employé au Tulips Hotel : Mon diplôme de réceptionniste en poche, après trois ans de longues études incroyablement ennuyantes et non dignes d'interêt, j'allais enfin rentrer dans la vie active, j'apréhendais et je redoutais tellement ce moment que j'avais une boule d'angoisse au creux de mon estomac constamment. J'avais eu du mal à obtenir ma dernière année d'étude, mais je savais que je l'avais quelque peu merité. Après tout, j'avais bouffé trois ans d'étude hôtellière sans me plaindre et en fournissant un minimum d'efforts pour ne pas me faire renvoyer. Ca faisait trois ans que je n'avais pas eu de contact physique avec mes parents, ils m'envoyaient juste de l'argent sur mon compte bancaire afin que je puisse subvenir à mes besoins sans trop d'efforts mais en échange, je ne leur avais jamais envoyé une quelconque lettre ou carte postale, ni même adressé un coup de fil. Je n'étais pas non plus rentrée à Amsterdam même si j'avais le mal du pays parce que je ne voulais pas revoir ma famille, je les haïssais trop pour avoir la moindre envie de les revoir un jour. C'était étrange mais juste la stricte verité. Pendant les vacances d'été, les quelques amis que je m'étais fait rentraient chez eux, c'était incroyable parce qu'ils vivaient tous dans des pays différents (nous étions dans une école internationale) et moi, je restais aux USA, dans la résidence universitaire, à me morfondre et à arpenter les rues de New York qui me paraissaient bien trop familières au bout de trois ans pour que j'y trouve un quelconque passe temps. Je ne trouvais rien de bien en ma nouvelle vie. Ni la ville où je vivais qui aurait sans doute fait plusieurs jaloux, ni même mes études dont j'étais toujours autant désintéréssée. La fin de mon cursus scolaire résonna en moi comme un incroyable soulagement. J'allais enfin rentrer chez moi.
    Je n'avais même pas pris la peine de prendre le pot de fin d'année avec les professeurs et les élèves de dernière année. Dès que j'avais eu mon diplôme, à vrai dire, je n'avais même pas attendu la fin de cérémonie avant de retourner chez moi. J'avais pris le premier avion que j'avais pu jusqu'à Amsterdam et je m'étais envolé vers mon pays. Celui qui m'avait tant manqué. Pendant mon voyage, je pensais à toutes sortes de choses qui n'avait pas d'interêt. Du genre : Est-ce que la ville à changé pendant mon absence ? ou Est-ce que je vais encore réussir à parler parfaitement la langue de là-bas après trois années d'anglais intensif ? C'était tellement étrange de penser à ça alors que j'allais retourner chez moi après des années à l'étranger.
    Arrivée à l'aéroport, j'éprouvais un énorme soulagement. Enfin. La boule d'anxiété au creux de mon estomac ne tarda pas à revenir. Personne ne m'attendait ici... Je sortis donc du lieu, appellais un taxi en sifflant (quand les habitudes reprennent le dessus, ahah) et retournai chez moi. Je savais que mes parents ne seraient pas à la maison, c'était une aubeine pour moi en fin de compte. Je n'aurai pas à affrontrer les fausses retrouvailles merveilleuses.
    Je fus chez moi en une vingtaine de minutes et une étrange sensation s'empara de mon être quand je me retrouvai devant ma maison. C'était bizarre, puisque c'était la dernière fois que je foulerai ce sol. J'entrai, rassemblai le peu d'affaires qui restait dans ma chambre et descendit en trombe. J'avais eu le temps de faire des recherches et de réserver une chambre dans un petit motel non loin d'ici. J'y allais donc, me préparant aux entretiens d'embauche qui m'attendaient l'après-midi même malgré le fait que je sois épuisée à cause du décalage horaire.
    Un, deux et trois entretiens d'embauche râtés. Les hôtels n'étaient pas si nombreux à Amsterdam. Il en restait deux sur ma liste : celui de mon père et le Tulips Hotel. Je barrai en rouge le premier. Je ne pouvais travailler là-bas mais me rendait tout de même au Tulips. Bien que c'était le dernier endroit où j'avais envie de travailler. C'était l'hôtel de l'amour et de la passion où ne logeait que des couples. Des rumeurs folles couraient d'ailleurs sur l'infidélité de ses couples qui se consolaient avec les employés. Ca m'arrangeait, j'étais plus histoires sexuelles que grand amour.
    Après un court chemin de mon motel jusqu'à l'hotel, je tombai sur un endroit somptueux. Wah. Quand même. L'architecture ne faisait pas faille à sa réputation. C'était tout simplement splendide. J'entrai sans plus attendre. Ce que je remarquai en premier c'était la tonne de beaux mecs qui se trouvaient dans le hall... Raah. Moi et ma libido. Stop ! J'étais là pour le boulot.
    Une jeune femme me fit passer l'entretien. La démotivation se lisait sur mon visage, mais j'avais besoin d'argent et d'un logement stable. Je l'avais dit à la femme qui l'avait compris et m'avait regardé d'un air compatissant. Je ne sais pas si elle m'avait embauché par pitié ou parce que mon humour sarcastique lui plaisait mais toujours était-il que j'avais été prise pour un poste de réceptionniste et que j'étais fière de moi, pour la première fois de ma vie.

    • Mon héros, mon modèle : Je n'ai pas pour habitude de suivre une quelconque personne, ni même de pomper son style ou sa personnalité. En faite, j'ai un caractère bien trop fort pour m'imposer le style de quelqu'un d'autre. Je n'ai jamais eu besoin d'aide et personne ne m'en a jamais fournit. J'ai toujours vécut à la dure et c'est pour ça que mon seul modéle, c'est moi-même.

    003Le quizz du petit hôtelier.

    A quoi est prêt votre personnage pour satisfaire le patron ?

    • Coucher pour réussir ? Tout dépend de la gueule du patron en question, huhu.
    • Renoncer à ses vacances ? Pourquoi pas, je n'ai rien de vraiment mieux à faire que de bosser pendant les vacances de toute façon.
    • Trahir ses collègues ? Oh oui ! Je n'ai jamais eu d'amis, encore moins mes collégues, alors pourquoi pas ?
    • Ne penser qu'au travail ? Hum... Disons que oui.
    • Cirer les pompes du boss ? Bien-sûr !

    004Derrière l'écran.
    ( facultatif )

    Prénom ou pseudo : Je m'appelle Margot, mais appellez-moi comme vous voulez. x)
    Sexe : Féminin.
    Âge : 15 ans, 16 en mai.
    Présence sur le forum : Réguliére je pense. Une demie heure au minimum pendant les soirs où j'ai cours (le lundi, mardi, jeudi et vendredi), et une à deux heures les jours restant.
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Loïs Van Garett

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MessageSujet: Re: Loïs Van Garett in the place. Huhu. [Finie]   Loïs Van Garett in the place. Huhu. [Finie] EmptyFévrier 8th 2009, 3:52 pm

Je me suis permise de continuer ma présentation sur un nouveau post étant donné qu'elle ne rentrait pas sur le premier message. (: Je pense avoir respecté toutes les conditions, à vous de décider maintenant.
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Sharona Campbell
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MessageSujet: Re: Loïs Van Garett in the place. Huhu. [Finie]   Loïs Van Garett in the place. Huhu. [Finie] EmptyFévrier 8th 2009, 5:14 pm

Oui, c'est parfait !
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